Je suis peinée lorsque je lis,
Qu’hier tu sombras dans ce chagrin de vie,
Tu m’as fait grande offense car tu n’as pas compris,
Que me mettre à l’abri de ta funeste danse
Lorsque le soir ton cœur frappe la décadence,
C’est me faire un affront, ne pas me faire confiance.
Je t’ai donné le mien, tu m’as dit le savoir,
Et tu restes muet quand tu es dans le noir.
N’aurais-je pu te conter les anges de l’espoir?
Comment te pardonner quand tu dis m’ennuyer?
Que fais-tu donc de moi et de mon amitié?
Ne l’entends pas ainsi car je suis indignée,
Je fais partie de toi que tu le veuilles ou non,
De mon soleil tu es l’un des quelques rayons,
Je veux nos amitiés ensemble, à l’unisson…
En plus de ton soleil, tes nuages sont miens,
Tes larmes dans tes rires, mais aussi ton chagrin,
Je ne peux être heureuse si ta porte est fermée
Lorsque tes états d’âme viennent te faire pleurer
Et qu’alors loin de moi, tu veux rester prostré!
C’est la dernière fois que tu me fais cela,
Quand moi j’ai de la peine, tu te veux d’ être là…
Je hais le sens unique, tu devrais savoir çà!
Je te prends dans mes bras, pour cette fois j’oublie,
Nous allons partager tes rires et tes soucis,
Une fois pour toutes dis-toi : c’est un amour d’Amis
(Article illustré par les toiles de SambaArt)
🌹
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Belle promenade au fil de mes pages
Merci pour votre visite et pour vos mots 🌹