Subjuguée de beauté, je reste là, figée,
Imprimant sur mon coeur ce crépuscule d’été..
A la tombée du jour, les barques se recueillent,
Elles balancent leurs flancs au silence des flots.
Sur un credo de solitude,
S'enfilent des larmes de perles
Perdues dans les plaintes du vent.
Soudain, j'ai le vertige de toi
Au bord du miroir de l'oubli.
Mon corps est douloureux, secoué de sanglots,
Il fait trop noir de vivre lorsque le rêve fond...
A l'heure de l'absence, perdue de désespoir,
Les mots de ce silence font entendre leur voix.
J'aquarellise ton nom
Avec les seules couleurs de brume,
Et tourne la ronde des heures …
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